La Première ministre britannique Theresa May a accusé l'ancien chef de gouvernement travailliste Tony Blair de chercher à "saper" le Brexit.
Les négociations se poursuivent à Bruxelles depuis le mois de septembre entre le groupe des pays ACP et l'Union européenne afin de parvenir à un nouvel accord de coopération.
Theresa May a entamé mardi une série de rencontres avec des dirigeants européens pour les implorer de lui accorder des concessions sur l'accord de Brexit.
Le backstop est décrié par les députés pro-Brexit, jusqu'au sein du Parti conservateur au pouvoir, qui y voient un danger d'arrimage permanent du Royaume-Uni à l'UE.
La Commission européenne a affirmé mercredi vouloir réduire la domination du dollar dans les échanges internationaux.
Le Brexit pèsera sur l'économie britannique dans tous les cas de figure mais l'accord négocié par Theresa May limiterait les dégâts.
C'est un pavé de 585 pages qui détricote de manière inédite les liens noués pendant plus de 40 ans entre l'UE et le Royaume-Uni.
Les dirigeants des 27 pays de l'Union européenne ont tourné une page historique en approuvant dimanche l'accord de divorce avec le Royaume-Uni.
Plus d'un demi-million de personnes ont bruyamment participé à "la plus grande manifestation sur le Brexit", selon les organisateurs, samedi à Londres.
Le premier round de négociations formelles entre le groupe des États ACP et l'Union européenne a débuté jeudi à Bruxelles.
Les dirigeants européens se retrouvent jeudi à Bruxelles pour débattre de questions migratoires, de sécurité et de l'avenir de la zone euro.
Le négociateur en chef de l'UE Michel Barnier a proposé au Royaume-Uni de prolonger d'un an la période de transition qui suivra son départ de l'UE.