La négociation d'un accord nucléaire entre l'Iran et les grandes puissances "est en train de ralentir", à deux semaines de la date butoir, a regretté vendredi un haut responsable russe.
L’ambassadeur du Togo aux Etats-Unis, Kadangha Limbiyé Bariki, a participé mardi à Washington à un déjeuner offert par le secrétaire américain à la Marine (Navy).
L'Otan et l'Union européenne, confrontées à une Russie jugée plus agressive et à la menace jihadiste, veulent améliorer leur coopération.
Washington a joué la fermeté face à Téhéran et déployé des navires de combat dans la zone stratégique du détroit d'Ormuz.
Israël a présenté lundi une série d'exigences qui rendraient un accord final sur le nucléaire iranien plus acceptable à ses yeux que l'accord d'étape annoncé la semaine passée si elles étaient satisfaites.
Les lourdes sanctions imposées ces dernières années contre l'Iran à cause de son programme nucléaire controversé seront levées au fur et à mesure si le pays respecte ses engagements.
Les responsables du groupe dit des 5+1 (Etats-Unis, Chine, Russie, France, Royaume uni et Allemagne) et de l'Iran ont annoncé jeudi soir avoir convenu d'un accord cadre pour résoudre le dossier du nucléaire iranien.
La dernière ligne droite des négociations sur le nucléaire iranien n'en finit plus de finir à Lausanne. Alors que ministres et autres négociateurs enchaînent les heures et les jours, l'issue restait incertaine mercredi en soirée.
Les négociations sur le nucléaire iranien sont entrées mardi dans les dernières heures fixées pour obtenir un premier accord, sans aucune certitude sur l'issue d'un an et demi d'un marathon diplomatique inédit.
Des blocages importants subsistent encore dans les négociations sur le nucléaire iranien à Lausanne.
Le secrétaire d'Etat américain John Kerry est arrivé mercredi en fin de soirée en Suisse pour de nouvelles discussions sur le nucléaire iranien.
Les grandes puissances et l'Iran reprendront mercredi prochain leurs négociations sur le programme nucléaire de Téhéran.